Un coup entre deux tournées d'alcool (PV Orsolas)

 « Taveeeeernieeeeer ! *hic* E-encore un aaauuutre ! »

Cette phrase fut accueillie par de grandes acclamations dans la salle.Il s'agissait tout simplement de l'auberge locale, nommée « Le chaudron et la choppe », qui servait divers types d'alcool et de plats savoureux.

L'intérieur était entièrement fait de bois, le sol était un parquet clouté de chêne, sur lequel se trouvaient des tables et des chaises en acajou, le bar, quant à lui était en chêne. En entrant dans la bâtisse via les portes à doubles-battants, on pouvait voir le fameux bar sur la droite, les tables et les chaises au milieux, tandis qu'un feux crépitait dans une grande cheminée sur la gauche.

Une porte, derrière le bar, donnait aux cuisine, où les serveurs y faisaient de nombreux allers-retours, cherchant et ramenant les différentes commandes des clients, qu'il s'agisse de nourriture ou de boissons, voir les deux.

Sur la gauche, contre le mur du fond, un escalier menait sur le premier étage, où l'on trouvait également des tables et des chaises, cette fois-ci réservées aux clients souhaitant être un peu à l'écart, tout en donnant une vue sur le rez-de-chaussée. La salle complète pouvait accueillir environ une centaine de personnes, compte tenue de la population, elle ne désemplissait presque jamais.

Également contre le mur du fond, cette fois-ci à droite, se trouvait un autre escalier. Ce dernier menait directement au chambres du deuxième étage, on y trouvait aussi bien des chambres simples que doubles. La qualité était convenable, pas de fissures aux murs de pierres, pas de tâches ou autres saletés dans les literies régulièrement entretenues, et les verres des fenêtres donnaient tous sur la rue.

Enfin, toujours au fond du rez-de-chaussée, derrière l'escalier menant aux chambres, se trouvait une porte assez discrète. Celle-ci donnait sur l'arrière-court de l'auberge, il s'agissait de l'accès pour les clients qui souhaitaient prendre l'air. Une autre porte, une fois dehors, permettait d'entrer dans les cuisines. C'est là que se trouvaient quelques tonneaux qui n'étaient pas encore ouverts, du moins pour l'instant...
Comme l'arrière-court servait également de dépôt pour le ravitaillement, on pouvait y accéder via une ruelle située en perpendiculaire de la rue centrale, il suffisait simplement de tourner à gauche une fois engagé dans le passage, ce dernier suffisamment grand pour y laisser passer deux personnes de front.

À présent que nous avons la scène, passons maintenant aux acteurs. Tous assemblé à l'intérieure de l'auberge, les rires et les conversations fusaient dans tous les sens. On parlait de tout et de rien à la fois, entre amis ou collègue de travail. C'était toujours agréable de se retrouver autour d'une bonne bière après une rude journée. Et c'est dans cette ambiance que nous retrouvons notre héro.

Qui ça, demandez-vous ? Mais Kilian voyons ! Accoudé au bar, entouré par d'autres clients qui l'encourageaient, le mage indépendant posa lourdement sa choppe sur le comptoir, rejoignant d'autres conteneur de même taille, tous vides, ayant auparavant contenu tel ou tel alcool.

Rotant bruyamment, celui que certains surnommaient Légion éclata de rire en même temps que les autres hommes. Il venait de finir sa dix-septième choppe, et, bien que le rouge lui montait aux joues, semblait capable de tenir encore un bon moment.
Il s'adressa au patron, un petit homme un peu grassouillet, au crâne dégarni, bien sympathique, sur un sujet quelconque, jusqu'à ce qu'il pose une question qui le démangeait depuis son arrivée ici.

« E-e-et ben patron... *hic*... J'aurais pas crû m'faire aussi bien accueillir dans c't'auberge. *Hic*.
- Normal gamin, c'est pas tous les jours qu'on voit de nouvelles têtes dans le coin, surtout le genre qui nous sauve la cargaison de malt d'un incendie... »

Pour la petite histoire, Kilian cherchait du travail en ville lorsqu'un incendie s'était accidentellement déclenché dans la réserve de grain pour les bières de l'auberge, une histoire de lanterne mal éteinte qui était tombée de son crochet. Par chance, et avec ses pouvoir de clonage, le mage indépendant aida à éteindre rapidement les flammes avant qu'une trop grande partie des réserves ne parte en fumée. Pour le remercier, l'aubergiste lui avait accordé le gîte et le couvert à l’œil le temps de son séjour ici. Un brave type, vraiment.

« Rooh, *hic*, c-c'est rien. J'ai fais c'qui m'semblait juste... *hic*... Mais dis voir, pourquoi j'vois *hic*, pas d'femmes ici ?  »

La question sembla faire un peu rire les autres hommes, avant que chacun ne regagne sa place pour finir leurs verres, ou en demander d'autres.

« Oh ça, tu sais comment certains ce comportent une fois qu'ils ont deux-trois verres dans le groin, ça gueule, ça cogne, et ça cherche à tripoter tous ce qui peut passer pour une donzelle, du coup l'auberge est réservée aux hommes pendant la semaine, et le week-end, c'est ma femme qui prend les commandes, et les hommes n'ont pas droit d'entrer. »

Kilian hocha lentement la tête en finissant sa dix-huitième bière. C'est pas con comme raisonnement, ceci dit, ça doit pas plaire à tout le monde.

Bref, tout en discutant avec l'aubergiste, et en enchaînant les choppes et les pintes, Kilian commençait vraiment à avoir chaud, et un peu la tête qui tourne... Et une envie pressante.
S'excusant auprès de son hôte, le jeune homme partit se soulager la vessie aux toilettes, la porte se situant sous l'escalier menant au premier étage.

Une fois vidé, rincé et propre, il décida de sortir dehors pour prendre un peu l'air. Et l'arrière-court lui conviendra parfaitement, le temps de dégriser un peu.

Il sortit donc, ricanant à la remarque du patron lui disant de ne pas vider les tonneaux dehors. L'air était frais, la nuit commençait tout juste à tomber, quelques étoiles étaient déjà visibles alors que les derniers rayons du soleil disparaissaient à l'horizon, bien qu'il ne pouvait pas les voir de là où il était.

Retirant ses lunettes de soleil pour les ranger dans une poche de sa veste, ouverte sur ses muscles saillant, Kilian se pencha en arrière pour étirer son corps musculeux et viril, inspirant profondément pour soupirer longuement. Il comptait rester ici une poignée de minutes avant de retourner à l’intérieur, histoire de finir la soirée tranquillement, mais il semblerait que ses plans allaient se retrouver légèrement changés cette fois-ci...

Comment ces gens d'un autre temps et avec de malheureux outils ont-il pu créer ces forts gigantesque qui dans cette époque affiche pour les seigneurie de ces contrées une forme de fierté et de puissance (mais qui sera désormais révolue dans le futur car ils ne seront que ruine), d'ailleurs les pauvres types qui œuvraient nuit et jour à la construction de ces édifices furent-ils payé et nourrit ? Ou bien le pouvoir brutal du roi local de ces lieux les employaient-il comme des esclaves ? La blondinette a forte poitrine ne fut jamais forte en histoire au temps ou elle fut scolarisé à l'école durant son adolescence, ce qu'elle trouva fascinant par contre, c'est le fait de découvrir aujourd'hui des vestiges de l'ancienne civilisation qui avait peupler la Terre ! Dans ses rêves les plus fous, elle n'aurait jamais voulue voyager à cette période mais que faire ? Elle est désormais piégés jusqu'à sa mort dans ce monde hostile et barbare, ou le proxénétisme et le viole de femme y sévissait toujours, elle supposa qu'à l'heure actuelle, les service de renseignement et les autorités de la ville ont déjà du tout mettre en oeuvre pour la rechercher, en somme l'ancienne nonne ne se fera plus jamais entendre parler d'elle...


Que le grand cric me croque si je m'endors dans le sommeil des ivrognes !

Siggy avait prit place dans ce qui sembla être une espèce d'auberge de fortune qui faisait office de bar pour les voyageurs, La jeune femme n'avait malheureusement pas un rond sur elle pour se payer une boisson alcoolisés et qui plus est, elle ne savait même pas quel était donc la monnaie locale de ces lieux, est-ce en rouble, dinar, sesterce ou doublon ? Maligne comme elle est, celle-ci avait toujours un plan de rechange et se servit de son charme pour séduire le vieux tenancier a fond de cinquantaine au crâne dégarnie, l'homme lui sourit timidement avec sa gueule pratiquement édenté et jaunie en partie, il se risqua de lui toucher un sein mais Stellar se pinça la lèvre en lui lançant un regard de gêne, le vieux renard se ravisa et lui proposa a la place un récipient en bois cerclé de fer contenant un liquide brun dont l'odeur parvint a ses narines, l'ex-soldate huma l'air en souriant et se mit a boire doucement, le gout ne fut pas familier du tout, elle continua de le siroter. Quelque chose toucha sa hanche, elle se retourna en faisant voler au passage sa chevelure blonde mi-longue, un homme tenant un casque en main et incroyablement barbue avec une tunique de bûcheron et portant une hache de bonne taille se posa sur le tabouret, la jeune femme ne le connaissait pas mais celui-ci adorait les jeunes femmes mures et bien garnie sous le haut-du-corps, il empestait la bière et la viande et a juger par son haleine, ça doit bien faire des jours qu'il ne s'est pas laver le palais dentaire. L'ancienne soldate dut prendre un peu de recul afin de l'éviter mais l'homme voulu se rapprocher mais le tenancier lui proposa une nouvelle choppe de bière pour distraire le gros ours mais celui-ci ne sembla pas vouloir l'écouter et vu de l'état avancé du bûcheron qui avait du mal a se tenir sur ses jambes, des hommes attablés durent se joindre à la mêlée et retenir le vieux grisou afin qu'il n'y ait pas trop de cas, de son cas miss Aquinas s'écarta prudemment du comptoir en allant se mettre plus loin...

Le monde des hommes est emplie de mystère mais le monde ou elle se trouva prisonnière depuis quelques jours l'est encore plus ! L'on aurait dit que ces marginaux avaient subit un lavage de cerveau ou encore hypnotiser par une entité morphologique (un démon) dont le "manipulateur" invisible aux yeux des vivants tirait les ficelles en coulisses en les ordonnant d'abuser d'une pucelle. Cependant, la jeune femme regretta d'être née femme et aurait voulue voir le jour en tant qu'homme ! Une religieuse en fuite ne passe pas inaperçue, elle s'était dit qu'en rentrant dans ce bar réservé exclusivement aux hommes, elle pourra oublier un peu sa contrainte. Au lieu de ça, elle se fit appréhender a peine après avoir mit un talon de sa cuissarde doré a l'intérieur. Fort heureusement, le tenancier tapa violemment le comptoir en exigeant le payement de son verre, pendant que le gérant et le client s'embrouille, Orsola en profita pour sortir par la porte de derrière discrètement malgré que sa tunique bleue marine et le son claquant des talons haut de ses cuissardes ne furent pas silencieux. Des gros porcs rondelet qui avait l'air de nobles riches corrompus tentèrent de l'attraper au passage pour la faire s’asseoir sur l'un d'eux pour s'amuser un peu, seulement il ne furent pas lucide pour contrôler leur geste.

"Tu parle d'une hospitalité, charmant l’accueil"

Pensa Siggy.

Etant sortie la première dehors, un étrange récipient contenant un liquide sombre dedans sembla se mouvoir a sa surface, elle se pencha pour voir de quoi il peut mais il faisait trop sombre pour ce que c'est, elle se baissa encore plus (jusqu'a ce que son nez effleure la surface. Une odeur inhabituelle et invisible lui chatouilla les narines ! Soudainement, sa tête devint lourde et eut du mal a maintenir son équilibre. Elle n'eut alors qu'une envie, c'était de se servir de l'alcool, sa poitrine volumineuse se balança de gauche a droite a cause de la nervosité.



La jeune femme serra ses seins entre ses mains alors que son visage vira au rouge. Elle trouva un gobelet gradué servant pour les mesures et se servit en buvant. La première gorgée fut emplie de dégoût, elle songea a stopper mais sa conscience s'en alla doucement. Elle en reprit encore en le vidant d'un trait a la manière d'un homme ! Elle buvait sans se lasser alors que son ventre commença a s'emplir de la boisson négative. Arriver a un seuil de tolérance, elle ne pouvait plus se retenir, la bouche pleine et gonflé comme un hamster, elle avait besoin de se poser en vitesse, elle se tourna vers le tonneau voisin fermé et fit allonger le haut-du-corps sur le couvercle, ses seins s'écrasèrent en partie avec la partie blanche de sa peau qui se dévoila, son ventre en touchant la partie ronde et hermétique du couvercle ne tint pas le choc avec son poids, elle se mit a vomir avec les yeux levé vers le haut de se ses orbites sans se retenir, le liquide maronnasse et légèrement brune se déversa de sa bouche en glissant sur la matière boisé du tonneau avant de s'écouler sur les talons de ses cuissardes dorés et elle s'évanouit dans la fraîcheur de la nuit.

Les yeux fermées, visage pointé vers les cieux, Kilian profitait de l'air frais qui régnait petit à petit, à mesure que la soirée continuait. D'ici une petite poignée d'heures (deux tout au plus), la soirée laisserait place à la nuit, le soleil aura complètement disparu pour illuminer l'autre bout du monde, tandis que la voûte céleste, avec la lune et ses étoiles, prendra sa place.

C'est impressionnant la sensation que l'on a d'être minuscule lorsqu'on observe les étoiles et les constellations, pas vrai ? Quand on voit tout ça, cette fresque grandiose et magnifique, on ne peut s'empêcher de se demander : somme-nous seuls dans cet univers ?

Ah, je m'égare, nous allons donc revenir à notre sujet principal.

Légion se passa une main dans les cheveux pour se recoiffer en se penchant en arrière, profitant pour prendre une profonde inspiration. Avant de laisser lentement retomber son bras en expirant, se penchant en avant. C'est alors que notre protagoniste masculin remarqua qu'il n'était pas seul.

Alors qu'il tournait la tête pour mieux observer l'arrière-court, il vit quelque chose d'assez inattendu, il faut le dire : un joli fessier bien rebondit. S'approchant un peu, Kilian remarqua alors que la personne à qui appartenait ces belles fesses était une magnifique femme habillée en nonne, aux longs cheveux bruns, une poitrine opulente, avec des cuissardes dorées et... pas de culotte ! Il avait donc une belle vue sur l'intimité et la porte arrière de la belle brune !

L'albinos se frotta les yeux, pensant que l'alcool qu'il avait bu lui jouait des tours. Pour s'en assurer, il tendit la main et commença à peloter sans aucune gêne ce postérieur qui s'offrait à lui. Quelle peau douce, on voit que cette femme savait prendre soin d'elle, même si, pour une nonne, elle n'était pas vraiment un exemple de chasteté. À moins qu'il ne s'agisse d'une excommuniée ? Ou tout simplement d'une femme qui avait des fantaisies de cosplay...

C'est là qu'il remarqua la grosse flaque de vomi brunâtre qui s'étendait sous elle, et à en juger par son manque total de réaction et le tonneau de cervoise ouvert juste à côté, pas la peine d'être aussi doué que Sherlock Holmes pour deviner que cette pauvre fille était tout simplement ivre morte.

Son côté gentleman refusant de laisser quelqu'un de la gent féminine dans cet état (surtout une qui était aussi bien roulée), Kilian invoqua un clone qui rentra dans l'auberge par la même porte qu'il avait emprunté pour sortir. L'original prit la brune dans ses bras et la positionna sur le côté, à l'écart de son reflux gastrique, tandis que son clone était tout simplement parti chercher un tissu et un peu d'eau, ce qui fut facilement accompli, les hommes à l'intérieur étant trop occupés à boire, parler ou chanter pour lui prêter attention.

Une fois la copie revenue de sa mission, Légion entreprit de nettoyer le vomi présent sur son visage d'ange, ainsi que sur ses cuissardes, malheureusement, il ne pourra pas lui rincer la gorge pour le moment, au risque d'aggraver son cas. Il ne se priva pas cependant pour lui peloter discrètement les seins, l'alcool aidant.

Finalement, après avoir révoqué son clone, Kilian entoura de sa veste la femme encore assoupie, puis il se releva, la prenant sur son dos, son visage posé l'épaule droite. S'assurant que sa prise était bonne, le mage indépendant commença à marcher en direction de l'allée parallèle à l'auberge, avant de bifurquer et d'atteindre la rue principale devant l'établissement.

Inutile d'y retourner à présent, et surtout avec une femme dans cet état sur le dos, le patron et les clients avaient beaux être occupés, il ne passera pas inaperçu. Et comme il ne voulait pas subir les remarques salaces et les questions, Kilian décida de rejoindre l'hôtel. Par chance, il avait déjà une chambre pour lui, et en plus le bâtiment n'était pas loin.
Une fois arrivé sur place, Kilian monta directement dans sa chambre, l'hôtesse d'accueil n'étant pas là pour le moment, ce qui l'arrangeait également.

Du point de vue de la porte d'entrée qui donnait sur le couloir, un grand lit à deux places se situait sur la droite. Un bureau et une penderie se trouvaient au côté opposé. Enfin, en face de la porte, se trouvait une petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. L'éclairage de la pièce était assuré par quelques lacryma luminescentes, disposées sur les murs.

Délicatement, l'albinos posa l'évanouie sur le matelas, un coussin sous la tête, le corps positionné sur le côté au cas où une envie de vomir lui prendrait, il prit même une bassine, une serviette et un peu d'eau dans le coin « salle d'eau », dont la porte se trouvait entre la penderie et la fenêtre donnant sur l'extérieur.

Le mieux, à présent, serait d'attendre que la belle inconnue se réveille. Qui sait, en lui expliquant la situation, peut-être se montrera-t-elle reconnaissante...

Orsola ne mérite même pas son titre de nonne, elle a commit un sacrilège en consommant la boisson du malin ! Et rien ne s'améliore, quand quelqu'un parle de changement, c'est pour réparer une erreur en oubliant le passé mais pour le cas de miss Aquinas, ce fut évidemment tous le contraire, l'on aurait pas dit qu'elle essayait de faire des efforts plutôt qu'elle s'efforça... Ou a moins qu'il s'agit justement d'une excuse pour continuer de s'amuser inconsciemment dans le monde des hommes. Orsola avait finit par s'évanouir comme un ivrogne, oh oui, son estomac l'avait prédit et le souhait fut comme qui dirait réaliser. Elle n'aurait pas du faire ça mais c'est comme si un aphrodisiaque l'avait affecter et qu'elle est partie se bourrer comme si le besoin fut une nécessité. Elle espéra qu'un type grossier n'osera pas la toucher pendant son sommeil nocturne. Elle s'éveilla bien des heures après son spectacle et vit un drôle de type avec des cheveux blanc en balai, le gars était entrain de la fixer avec ses lunettes de soleil et un sourire de sadique aux lèvres.



Je ressens un manque d'amour important en profondeur...

Orsola ne savait même ce qu'elle venait de balbutier ! La nonne avait soit penser a haute voix ou sinon, elle avait parler précipitamment mais au vu du sourire inquiétant du mâle dominant, l'on aurait dit qu'il serait désireux de passer a l'action. Alors sans répondre ou laisser le temps de monologuer, miss Aquinas s'empressa d'attraper la couette en hâte, elle se mit a plat ventre sur le matelas et rabattit entièrement la couverture jusqu'à la tête comme un enfant ayant peur de l'orage la nuit. Orsola n'avait pas réfléchir a un meilleur plan mais au vu de ce qui s'est passer, Orsola n'avait visiblement pas totalement récupérer de sa soirée et elle a fait n'importe quoi !

L'albinos venait de déposer la belle inconnue sur son lit et lui avait fait sa toilette, il ne restait plus qu'à attendre son réveil.

Baillant, Kilian remarqua la lourde odeur d'alcool qu'il portait sur lui, et c'était pas vraiment une effluve des plus attirantes. N'ayant pas la tête à prendre une douche maintenant, le mage indépendant se contenta d'un rapide brin de toilette et d'une touche de parfum légèrement aphrodisiaque, n'ayant plus de flacon classique sous la main.

Il n'avait pas encore enlevé ses lunettes qu'il vit la femme commencer à bouger pour ensuite ouvrir les yeux. Sûrement déboussolée, et il y avait de quoi l'être, la nonne sans culotte tourna la tête vers lui. Bon, c'est le moment d'être rassurant, alors on fait un joli sourire et...

« Je ressens un manque d'amour important en profondeur... »

Heum... D'accord. Ce n'était clairement pas le genre de phrase qu'il s'attendait à entendre venant de la part d'une bonne sœur. Bien qu'il soit déjà arrivé à notre mercenaire de devoir satisfaire discrètement les besoins charnels de quelques femmes d'église désireuses d'assouvir quelques curiosités. Héhé, cela suffit à lui faire accentuer son sourire de manière à lui donner un air lubrique, mais ce n'était pas sa faute si la nonne était bien gaulée !

D'ailleurs, cette dernière fût prise d'une grande gêne en le voyant, pour ensuite se retourner et poser la couverture sur sa tête afin de se cacher. C'en était presque attendrissant, vraiment. S'installant sur une chaise, Kilian ôta ses lunettes de soleil pour les poser sur la table de chevet, avant d'adresser la paroles aux courbes qu'il distinguait sous la couverture, en particulier ce fessier qu'il malaxerait bien volontiers...

« On peut dire que vous avez eu de la chance, ma Sœur. Finir dans le lit d'un honnête mage indépendant comme moi me semble beaucoup plus appréciable que d'être le jouet d'une bande de soûlard, ce qui vous serait sans doute arrivé si quelqu'un d'autre que moi vous aurait retrouvée dans cette ruelle. »

Il ricana en se relevant, s'approchant ensuite de la femme qui était toujours cachée pour faire lentement parcourir sa main le long de son dos, la grattant du bout des doigts sous la couverture tout en se dirigeant vers ses fesses.

« À moins qu'il ne s'agisse d'un fantasme ? Un désir pervers que vos prières n'ont pus effacer ? C'est pour ça que vous ne portez pas de culottes sous cette tenue bien bandante ? Vous espériez servir de défouloir à quelqu'un ? »

Lui chuchota-t-il à l'oreille après avoir légèrement relevé la couverture de son visage. Inutile de préciser que le parfum devrait lui parvenir aux narines, et que l'engin de Kilian commençait lentement à s'éveiller.

« Je vous le demande : voulez-vous succomber au plaisir ce soir ? Satisfaire vos besoins charnels tout en faisant de même pour moi ? »

Cette fois-ci, sa main lui agrippait pleinement l'arrière-train et le pelotait à travers la couverture sans aucune retenue.

« Un croupion pareil, et de tels seins, ça serait un pêché de ne pas baiser un corps pareil, et que ce corps refuse d'aider un homme dans le besoin serait encore plus grave, non ? »

Orsola avait-elle perdue son esprit, elle se sentit un peu malade pour ainsi dire, elle ne sortit pas encore du lit et en inspectant visuellement l'ameublement de la pièce, elle sut qu'elle se trouva dans une chambre d’hôtel, elle se tourna vers l'inconnu qui l'avait sortie de sa misère et replongea sous la couette en se mettant a plat-ventre et en se recouvrant entièrement la silhouette. Elle n'osa répondre a aucune de ses questions en restant muette comme une timide, se contentant d'un bref hochement de tête sous le tissu du lit. Siggy en sentant une pression lui le fessier sans aucune douceur la fit rougir et pousser un couinement de surprise... Orsola ne savait plus ou elle en était dans ses sentiments ou ce qu'elle voulu vraiment. La nonne se laissa faire un moment avant de se retourner sur le dos en baissant la couverture a hauteur du cou, elle le regarda longuement avec les cheveux désordonnées et teinté de sueur sur le temps qu'elle a du mettre en revenant du pays des rêves.



J'aimerais succomber au plaisir extrême comme vous dite mais inutile de me demander de me dévêtir car la séance aura lieu avec mes habits, bien que que vous pouvez l'être

Elle releva les bras de sa tunique bleu en l'observant depuis la position allongée en même temps que les jambes en les écartant de manière large. Orsola fut morte de honte quand l'armoire a glace lui a fait remarquer qu'elle ne porta aucune lingerie. La jeune femme n'en savait rien ou elle fut étourdie ou qu'elle fut couper de la réalité dans ses méfaits... miss Aquinas écarta un peu les jambes sur un geste sexuel avec les cuissardes a talons haut dorés qui brilla sous l'effet de la lampe au plafond. Invitant le personnage à la pénétrer directement a son intimité désormais accessible. Elle n'aimerait pas que ce grand dadais soit tendre avec elle, mais voudrait le contraire plutôt.



L'homme avec son sourire charmant ne laissait aucune réponse sur ses pensées de mâle dominant et comme miss Aquinas ne savait pas justement lire dans les pensés, elle ne put se fier qu'a l'expression du visage du personnage.

Kilian observa la réaction de la nonne perverse d'un air amusé. Il la vit se recouvrir entièrement sous la couette alors qu'il lui pelotait les fesses pour ensuite retirer cette dernière afin de se mettre en position on ne peut plus explicite.

Oh-ho ? Voilà qu'elle veut servir de source de plaisir à notre albinos, du moment qu'elle garde ses vêtements ? Si c'est un de ses fétiches.

"À ta guise, Soeur Salope, je vais bien te la mettre !"

Répondit-il en affichant un sourire carnassier avant de se déshabiller rapidement.

Se positionnant sur le lit, le mercenaire saisit son engin viril d'une main, commençant déjà à durcir devant un tel spectacle. Et sans plus attendre, il s'enfonça en elle d'un coup sec, atteignant rapidement l'intérieur de son nid fertile du premier coup de rein alors qu'il plaquait son bassin contre celui de la femelle.

"Hmmmm ! Déjà si mouillée, t'en avais envie à ce point ?"

Restant immobile pour mieux apprécier la pénétration, il commença ensuite à donner des coups de reins, faisant grincer le lit de plus en plus tandis qu'il ressentait chaque centimètre de l'intérieur de la chatte qui s'offrait à lui.

Ses mains ne furent pas en reste. Au début utilisées pour saisir les cuisses de la nonne et placer ses jambes par dessus les épaules de notre homme, elles fondirent ensuite tout droit vers l'opulente poitrine qui ballottait au rythme de ses coups de butoirs, n'hésitant pas à dégager le tissu pour mieux lui saisir, puis pincer et tirer sur les tétons, avant d'en prendre un goulûment en bouche.

La soirée s'annonçait bien agitée, et maintenant, il n'y avait plus de retour en arrière possible. Mais aucun des deux n'en avait envie, donc tout va bien.