Declaration mutelle

08/12/2019

Je marchais tranquillement devant mon équipier pour cette mission qui semblait trainer un peu les pieds derrière, minaudant pas mal. Je m’arrêtai alors et me retourna pour le regarder dans les yeux. Mais il semblait perdu et ne s’arrêta qu’a quelques centimètres de me percuter.

« Un souci ? Depuis qu’on a pris cette mission à deux, tu es bien maussade et semble complétement ailleurs. »

Il détourna alors le regard, ses joues s’empourprant légèrement, sa voix bégayant. Je le fixai alors d’un œil interrogateur, un sourcil circonspect levé. Mais je me tus, me retournant afin de reprendre la route du retour, sortant justement de la forêt qui bordait le sentier de terre, nous permettant de voir Magnolia légèrement en contrebas. Mais alors que nous approchions de la ville, des nuages commencèrent à apparaitre au-dessus de la ville avant de déverser une pluie battante. La main de mon partenaire se colla alors à mon dos, me poussant doucement vers l’avant, m’incitant a le suivre tandis que le rouge me montait au visage. Je le suivais alors sans rien dire ni même réfléchir, finissant par arriver chez lui. Il me fit alors rentrer avant de fermer la porte derrière nous tandis que je pénétrais dans la maison, laissant mes bottines complétement remplis d’eau à l’entrée, me retrouvant en bas nylon.

« Fichu temps. D’où elle sort cette pluie ? Il n’y avait aucun nuage il y a cinq minutes. Encore un coup de Juvia ? »

Je me secouais, retirant ma veste complètement percé par la pluie pour la poser sur le porte-manteau mural, regardant ma tenue qui était à peu près dans le même état. Mon débardeur étant devenu transparent et laissant voir mon soutien-gorge bleu comme mes cheveux à travers. Quand a mes bas, ils étaient devenus lourd en plus de collant. La seule chose qui avait été plus ou moins épargné était ma jupe. C’était toujours ça. Mais bon, la chose qui me dérangeaient le plus était mon visage rouge cramoisie du fait que je n’étais pas dans ma chambre à Fairy Hills, mais dans la demeure du dragon slayer d’acier qui me rendait toute chose, Gajeel Redfox. Je n’osais pas encore le regarder, n’étant pas trop à l’aise dans cette situation où il pouvait me voir. C’était certes une bonne occasion d’essayer de le séduire, mais en même temps je sentais ma timidité face à lui reprendre le dessus. Il me fallait vite une échappatoire.

« Tu…tu peux m’indiquer la douche ? »

Je sentais ma voix febrile dans cette demande comme celle d’une petite fille demandant quelque chose qu’elle aimait mais dont elle n’avait pas le droit.

09/01/2020

Une pluie salvatrice.

La mission que Gajeel avait accepter en duo avec Levy s'annonçait ennuyeuse mais en chemin le dragon d'acier se mit alors à songer que cela serait sûrement le moment idéale pour enfin avouer ses sentiments, il faut dire qu'aucune véritable occasion ne s'était jamais présenté et qu'il n'avait pas spécialement agit pour en provoquer une non plus... Il essayait d'envisager les diverses possibilités d'ouverture qui pourrait s'offrir à eux tout en marmonnant dans sa barbe avec un air des plus sévère sur le visage alors qu'au-dessus de leurs têtes s’amoncelaient des nuages porteurs de pluies.

Perdu dans ses pensées il ne se reprit qu'à quelques centimètres de Levy, rien que le fait de se savoir aussi prêt ainsi que d'être confronté au fait d'avoir penser tout haut le fit rougir mais aussi détourner son regard sous la gêne. Il avait bien essayé de tenté de se justifier mais devant impossibilité de faire un mot sans bégayer il préféra se taire. Ils reprirent leur route mais une pluie diluvienne vint les surprendre sans qu'ils ne puissent rien y faire. La ville était trop loin derrière eux mais la maison de Gajeel à la lisière de la forêt était toute proche, il poussa alors légèrement Levy en posant sa main dans le dos, agissant par instinct pour la protéger.

Il ouvrit grand la porte de son domicile et la laissa entrer la première. Il lâcha un petit rire à la remarque de Levy tout en étant dos à elle alors qu'il retirait ses bottes mais aussi son manteau long mais aussi son haut tout deux imbibés d'eau. Il se retrouva alors torse nu, dos à Levy, son torse aux muscles saillants couverts de cicatrices et aux avant-bras comportant des piercings. Il tilta tout de suite lorsqu'il se retourna face à la femme de ses rêves qu'il se retrouvait dans la situation idéale pour déclarer sa flamme. Mais la vu de Levy dans ses vêtements mouillés à la limite du transparent, au point où il pouvait voir son soutiens-gorge juste en dessous en détails, rendit son visage aussi cramoisie que celui de d'élue de son coeur d'acier.

" L-La salle de bain...? A ou-oui c'est par là...-"

Tout peneau et timide il la guida jusqu'à la salle de bain et lui sortie une serviette avant de quitter la pièce on ne peut plus gêner avec le coeur qui battait aussi fort qu'un concert de percutions.

"J-Je passerai après, prend tou-tout ton temps...Euhm, je vais préparer quelque chose en attendant, ça-ça nous réchauffera..."

Rien à faire elle lui faisait perdre tout ses moyens, il se retrouvait totalement sans défenses avec elle dans ce genre de situations. Il sorti alors de la salle de bain en refermant la porte avant de partir en cuisine. Si Gajeel n'était certes pas très doué en musique, malgré le fait qu'il pense largement le contraire, il reste cependant un domaine dans lequel il excelle en dehors de ses missions, c'est la cuisine. Il mijota un bon pot-au-feu pour lui et Levy afin de pouvoir régaler leurs estomacs tout en les réchauffants. Il mit également les vêtements de la jeune femme à sécher face à un bon feu de cheminé et mit la table.

Il se montra aussi précis et méticuleux que lors de ses missions en solo, comme si sa vie dépendait de ce plat et du moindre de ses gestes et d'une certaine façon pour lui c'était encore plus cruciale que de réussir à s'infiltrer chez Raven Tail sans éveiller le moindre soupçon, c'est dire à quel point la scribe compte à ses yeux. Lorsqu'elle sortie il déposa une couverture sur ses épaules et la servit, faisant de même avec son assiette venant manger face à elle, après tout il pouvait tolérer l'humidité encore un peu si ça lui permettait de partager un bon repas avec elle...

Codage par Libella sur Graphiorum

08/12/2019

Une fois qu’il fut sorti de la salle de bain, je pus enfin souffler. Je me déshabillai alors très vite, jetant mes habits trempés au sol et entra dans la douche afin de rapidement me réchauffer. J’allumais alors l’eau, sentant un puissant jet d’eau chaude venir asperger ma peau, me procurant un frisson et me faisant lâcher un long soupir de plaisir. Qu’est-ce que c’était agréable comme sensation. J’attrapa alors rapidement un savon et commença à me laver, passant bien sur tout mon corps, et faisant egalement mes cheveux. Je n’en avais pas vraiment besoin, mais autant en profiter. Une fois finie, je reposai le savon et prit quelques minutes pour savourer le ruissèlement de l’eau chaude sur mon corps. Mais alors que je fermais les yeux, les images de Gajeel me revinrent en tête. Je revis alors son torse musclé et saillant, ses pectoraux et abdominaux parfaitement dessiné. Je ressentis à nouveau la sensation de cet homme me dominait de presque deux tête, me faisant sentir comme une proie devant un prédateur. Je sentis de nouveau son regard me pénétrer. Pendant l’instant où il m’avait regardé, j’ai cru qu’il allait me sauter dessus, mais finalement il m’avait laissé seul. Enfin bon, je ne pouvais pas trop lui en vouloir.

Je finis par quitter la douche, m’essuyant alors rapidement avant de m’emmitoufler dans l’essui, remettant egalement ma culotte pour ensuite appeler Gajeel qui vint me chercher, me donnant une couverture en plus pour me tenir chaud.

« Merci…Mais…Tu pourrais…m’apporter…Un t-shirt ? »

Pendant toute la phrase, j’étais rouge de gène, baissant même la tête sur la fin. Il me proposa alors de manger d’abord tant que c’était chaud. Je remarquai alors l’odeur alléchante qui s’élevait dans l’air. Entendant mon ventre gronder, n’ayant pas mangée de la journée, je du m’avouer vaincue. Je l’accompagnai à table, m’installant en face de lui alors qu’il me servit un pot au feu. Je le remerciai, m’arrangeant avec la serviette et la couverture pour manger correctement. Il s’installa alors en face et commença un repas assez calme, seuls les bruits des couverts resonnant dans la pièce pendant un long moment. Finalement, ne tenant plus, je finis par rompre ce silence de plomb.

« Merci… De m’avoir laisser venir chez toi par ce temps. Honnêtement, je ne suis pas sûr que j’aurais tenu jusqu’à Fairy Hills. »

09/01/2020

Une tension, un aveux proche ?

La tension devenait assez palpable, Gajeel essayait sans arrêt de se pousser à délayer sa langue pour laisser s'exprimer ses sentiments, ceux que lui inspirait cette si belle fée face à lui. Non seulement il voyait Levy comme la plus belle créature qui soit, mais il avait également conscience des joyaux que sont son intelligence et son caractère assez marqué toute fois empreint de gentillesse... Tout ceci faisait fondre son coeur, chaque regard qu'il posait sur elle ne faisait faire qu'un tour à son sang et ses joues s’empourpraient toutes seules.

A sa sortie de la salle de bain elle avait timidement tenté de lui demander un t-shirt mais Gajeel voulait qu'en premier lieux elle puisse se rassasier, après tout ses vêtements seraient bientôt secs. Il mangea alors dans ce silence des plus pesant, venant seulement entre le bruit des couverts et les battements de son coeur affolé. Il rougit soudainement lorsque Levy brisa le silence pour le remercier de l'avoir laisser lui ouvrir les portes de son domicile car elle ne savait pas si elle aurait tenue jusqu'à sa chambre de Fairy Hills. Gajeel sourit doucement et déglutit.

"T-Tu sais...C'est naturel...J'allais pas te laisser rentrer toute seule sous ce déluge au risque que tu tombe gravement malade... J'aurai galérer comme pas possible sans ma précieuse partenaire pour les prochaines missions... Et puis...Il détourne le regard alors que ses joues sont cramoisie et qu'il se frotte la nuque."J'aurai pas tenue en place, j'aurai passé mon temps à me faire un sang d'encre et à rester à son chevet..."

Ces derniers mots sortis de sa bouche quasiment tout seuls le firent un peu plus rougir, après cette demi-révélation il lui servit un cheese-cake en désert et partit lui chercher un t-shirt. Il revint après une dizaine de minutes avec un t-shirt noir assez sobre, venant alors le lui donner assez timidement.

"Tes...Tes vêtements seront bientôt sec...Et puis...Tu sais si ce déluge dure encore...Tu peux rester pour la nuit, je dormirais sur le canapé et te laisserais mon lit..."

Il détourna de nouveau le regard, les joues à nouveau cramoisies.

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08/12/2019

La timidité le rendait certes mignon, mais ça ne lui allait pas vraiment. Enfin, je n’allais pas me plaindre de le voir ainsi. Pour une fois qu’il perdait vraiment ses moyens face à moi. Je dus également reconnaitre que ses derniers mots me firent plaisir, m’arrachant un doux sourire heureux de satisfaction. Finalement, il était un peu plus attentionné que ce que je pensais. Ça ne pouvait qu’être plus agréable pour moi. Mais je restais cependant un peu surprise, m’attendant à une attitude plus sauvage de sa part, ce qui ne serait pas pour me déplaire d’ailleurs. Mais bon, je ne peux lui reprocher ce genre de choses non plus. Je le laissai alors allez me chercher un t-shirt pendant que je mangeais le morceau de cheesecake qu’il me servit.

Quelques minutes plus tard, il revint avec un t-shirt noir que j’enfila tout en restant caché sous la couette et la serviette avant de m’en débarrasser, celles-ci me gênant. Je flottais un peu dans le vêtement entre mes mains qui n’atteignaient pas le bout des manches et le t-shirt m’arrivant presque aux genoux. Je ferais cependant avec. Une fois « habillée », il me proposa de passer la nuit chez lui au cas où la pluie continuerait de tomber. Je profitai alors de l’occasion. Arrêtons de tourner autour du pot.

« Merci, c’est sympa. Je ne dis pas non. »

Je fremis alors un peu de froid, reprenant ainsi la couverture que j’avais posée sur la chaise pour m’emmitoufler dedans.

« Et merci aussi pour le repas et le dessert, c’était délicieux. »

09/01/2020

Un feu, une couverture, un orage...Une beauté.

La belle aux cheveux de glace était si envoûtante, si belle et séduisante à la fois, si innocente et pourtant source de tant de désir pour le coeur tourmenté du dragon d'acier. Il sentait son armure de rustre d'effrité avec elle, il se sentait à sa merci, il désirait être auprès d'elle, la rendre heureuse et passer jusqu'au restant de ses jours à ses côtés.

Il désirait la protéger, que rien ne puisse l'atteindre afin de conserver son si magnifique sourire sur son visage. Il vient alors remarquer qu'elle frissonne sous le froid. Il se lève alors et vient l'aider à s’emmitoufler dans la couverture. Il la frotta doucement pour la réchauffer et lui servit un café chaud. Se sentir si proche d'elle en étant si peu vêtu... Il en avait le tournis, si bien qu'il se senti choir, son instinct draconique prenant le dessus... Aussitôt qu'elle reposa la tasse il redressa son menton et vint alors lui dérober un long baiser. Il plongea son regard dans le sien, les joues aussi rouges que des tomates mûres. Il prolongea ce baiser qui fut leur, dehors un orage violent s'abattait tandis qu'enfin, ce fut dans un langoureux baiser, qu'il continue encore de prolonger, que le terrible dragon aux écailles d'acier avoua près d'un feu de cheminé ses sentiments envers la si sublime érudite que son coeur convoitait.

Il vint doucement blottir son dos délicat contre son torse musclé et l'enlaça de l'un de ses bras tout en caressant tendrement sa joue gauche de sa main droite, il ferma alors lentement les yeux pour profiter pleinement de se baiser, ne le stoppant lentement que pour reprendre son souffle, un fil de bave reliant encore leurs lèvres inférieure à la lueur du feu, son souffle chaud et court se plaquant sur les lèvres soyeuses de Lévy, comme pour lui avouer à travers ses actes, ses paroles que sa timidité ne lui permettait pas de déclarer haut et fort... "Je t'aime Lévy", c'est bien ce qu'il espérait qu'elle ait comprise.

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08/12/2019

« T’en auras mis du temps tête dure. »

Je revins alors lui chercher un baiser bien plus sulfureux que le précédent, écrasant mes lèvres brulantes contre les siennes en me retournant pour être face à lui, devant me mettre sur la pointe des pieds et baisser sa tête pou que nous soyons à la bonne hauteur. Je fis même glisser ma langue entre ses lèvres, venant chercher la sienne afin d’entamer une sorte de ballet, m’écrasant encore plus contre son torse alors que ma respiration s’emballait et mon visage virait légèrement au rouge.

Après plusieurs années, il avait finalement craqué et assumait maintenant ses sentiments. Je ne l’avais certes pas aidé, il fallait bien le reconnaitre. Je ne lui avais pas forcement montrer une grande attirance amoureuse à son égard et le fait que j’ai eu des frasques sexuelles auparavant ont aussi dû peser dans la balance. Et heureusement, ça n’avait pas émoussé ses sentiments pour moi. Ils étaient restés tout aussi fort malgré le temps passé, et je l’en remerciais.

Je finis alors par quitter ses bras, rompant ce second baiser en cherchant à récupérer mon souffle avant de m’asseoir sur la table, venant cherche le dragon baraqué a l’aide de mes jambes, entourant sa taille comme je pouvais avec, je sursautai alors légèrement en entendant un coup d’éclair.

« Saloperie de printemps qui arrive. »

Je soupirai alors que je remuais légèrement sous la couverture préparant un petit quelque chose pour Gajeel.

« De ce que j’ai lu, a cette période de l’année, alors que c’est en plein pendant le moment de la reproduction, les dragons deviennent insatiables et font vivre un enfer et un paradis sexuel à leur compagne, ne leur laissant que peu de repos. Je serais curieuse de voir ça. »

Tout cela avait été prononcé sur un ton un peu plus lascif de ma part afin d’éveiller l’appétit de la montagne de muscle en face de moi.

« Tu me montres ? »

Un sourire emplit de sous-entendu fleurit alors sur mon visage en même temps qu’un sourcil un peu moqueur se leva. Ce fut également le moment où je me dépêtrai de la couverture, montrant ma surprise. J’avais réussi à faire tomber le t-shirt au sol discrètement, dévoilant ainsi mon corps nu à ses yeux de prédateur. J’affichais alors sans pudeur ma petite poitrine n’atteignant même pas le B ainsi que mon vagin entouré de poil bleu court comme ma chevelure. Je lui laissai apprécier tout cela quelques secondes avant de revenir me coller à lui pour embrasser sa nuque avant de faire remonter mes lèvres le long de sa joue jusqu’à son oreille que je mordillai et contre laquelle je soufflai un petit courant d’air chaud pour bien le faire frémir.

« Fais moi tienne, mon cher bad dragon. »

09/01/2020

L'éveil du dragon

La réponse de sa belle petite fée bleue ne se fit pas attendre, un autre baiser bien plus fougueux et passionné que celui qu'il avait exécuté en premier lieu les rapprocha à nouveau l'un de l'autre, Lévy dévoila une nature bien plus entreprenante que le dragon mais ce dernier commença à rapidement faire preuve de la même passion sulfureuse, son sang bouillonnant, son visage s’empourprant légèrement alors qu'il vint répondre à une autre invitation pour un ballet des plus torrides entre leurs langues.

Le dragon se sentait enfin soulagé d'un poids considérable et prit en même dans un typhon ardent sans fin de plaisir et de bonheur. Depuis tout ce temps il n'avait peur que d'une chose, essuyer un refus, mais visiblement il venait bien de recevoir une réponse réciproque. Il la blottie un peu plus contre lui, ses bras aux muscles fermes et saillants couverts de cicatrices la ramenant contre son torse tout en s'enroulant autour de son petit corps fragile de tel façon à ce que ses deux mains puisses saisir ses hanches dans une prise aussi douce que ferme.

Mais la suite du petit manège en revanche le plongea dans un tout nouvel état, alors qu'il se faisait agripper en douceur par les jambes aux formes et courbes aussi sensuelles que délicates de sa Lévy, tout en étant tiré lentement vers elle, il écouta son discourt des plus alléchants ainsi que sa demande qui ne manqua de faire s'éveiller une lance d'acier si dure qu'elle aurait pue percée n'importe quelle défense.

Néanmoins les derniers gestes délicats, ses lèvres, ses mordillements, sa déclaration, tout ceci ne fit faire qu'un tour à son sang, il afficha alors lentement l'un de ses fameux sourires carnassier et lui murmura sur un ton suave au creux de son oreille.

"Je connais une petite fée malicieuse qui joue à un jeux dangereux, le dragon qu'elle vient d'éveiller risque fortement de la briser...~"

Sur ses mots Gajeel vint plaquer Lévy sur la table et déchaîna dans une fougue sauvage et bestiale lèvres, langues et crocs. Il embrassa, lécha, mordilla et même suça chaque parcelle du cou et de la poitrine de sa bien-aimée avec une passion aussi torride que brutale veillant à ce qu'aucun millimètre de peau ne soit épargner, pas même les deux plus sensible de cette poitrine qui avait hantée ses rêves et fantasmes les plus sulfureux.

Il changea l'un de ses doigts en une griffe métallique tranchante pour trancher d'un mouvement vif et précis, l'élastique de son jean noir pour faire tomber ce dernier, dévoilant un membre bien en chaire d'au moins 40cm et orné de 3 piercings similaires à ceux de ses avants-bras. Il écarta alors les cuisses de sa belle tout en torturant tour à tour son cou comme sa poitrine pendant que sa lance la pénètre lentement, centimètre par centimètre afin de la faire languir tout en savourant de son côté la chaleur, l'humidité et la douceur de son antre délicieusement serrée qui ne pouvait que le faire frémir et rendre son souffle plus rauque et brûlant, ce dernier finissant plaquer sur la peau de velours de Lévy à chaque expiration.

Une fois les quelques premiers mouvements passés avec douceur le dragon devint d'un coup bien plus féroce et brutal, il pilonna la pauvre fée bleutée sans ménagement, elle avait demander un dragon en rut ? La voilà servie ! Il ne lui laissa pas une seconde de répits, menant un assaut sauvage et brutal, martelant son col comme un marteau martèle une enclume, Gajeel cherchant ainsi à faire entrer l'entièreté de son membre à l'intérieur de sa belle Lévy ne lui laissant aucun répit pour reprendre son souffle, sentant la température grimpée en flèche et la sueur commençant à perlée sur leurs corps sous la lueur tamisée du feu de la cheminée ou encore le court flash des éclairs.

Codage par Libella sur Graphiorum