Quand les eaux troubles reflètent les ombres du passé [Hentai][PV : Cana Alberona]

Partageant le lit de sa partenaire de vie, une jeune métisse se débattait intérieurement. La nuit, en plus d’être mouvementée et longue se montrait peu reposante pour la domestique. Revoyant dans le royaume des songes une vie oubliée, des cris perçant ses tympans se font entendre. Des voix familières, des voix agonisantes, larmoyantes puis le silence. Sous les yeux de la rebelle, la défaite est manifeste. Il lui faut fuir. Il n’y a plus d’espoir dans sa terre natale. Elle était à présent une fugitive. Se redressant soudainement en sueur, la femme aux cheveux d’améthyste regarde autour d’elle.  De la désolation macabre d’amis perdue, il n’y avait que celle des affaires sales et des cadavres des bouteilles ingurgitées par sa maîtresse. Celle-ci dormait paisiblement, sans un souci au cœur à ses côtés. Cette vue mettait du baume à son cœur, chassant les derniers souvenirs scarifiés qui la hantaient avant de se redresser, sa chérie en aurait pour encore un bon moment de sommeil la connaissant, suffisamment pour mettre la maison en ordre avant leur départ. S’armant de ses outils, la vétérane s’attaque au champ de bataille qu’était sa maison. Aussi bien habituée au sang qu’à la sueur et la poussière, il y avait moins qu’elle avait prévu, lui offrant le temps de se doucher rapidement et de finir ses bagages. Ne prenant qu’une seule valise, elle n’avait pas besoin de prendre trop d’affaire, Cana s’assurant d’en prendre pour deux de toute manière.

A présent que cela était fait, il ne lui restait plus qu’à réveiller sa belle. S’étant préparée pour être dans l’esprit de leur vacance, elle s’était vêtue d’un bikini blanc assez flatteur, ne cachant que très peu de ses formes généreuses et musclées. Seule sa longue chevelure pouvait dissimuler cela, pouvant servir de cape tant sa longueur était exagérée.  S’approchant à quatre pattes de sa chère et tendre moitié, elle vient déposer ses lèvres sur son front, avant de venir pratiquer le rituel pour une belle au bois dormant, glissant jusqu’aux lippes.

«-Debout maîtresse Cana, il est l’heure de se lever~»

Poursuivant ses baisers, elle finit par reculer, tirant sur le drap, dévoilant son cœur sous ses yeux qui ne s’en lasse jamais. Joueuse, elle se redresse pour lui présenter sa tenue. Sans un mot de plus, elle s’en va préparer le petit-déjeuner, leur journée serait longue jusqu’à Akane Resort, alors il leur faudrait des forces. S’assurant de lui offrir une matinée équilibrée, la métisse revêt sa tenue natale par-dessus son maillot de bain, afin de pouvoir rejoindre la plage une fois que leur affaire soit déposée dans leur chambre. Sans nul doute qu’elles allaient y passer une bonne partie de la journée pour débuter leur vacance. A cette pensée, le cœur de la jeune femme ne pouvait que s’emballer. Des vacances en amoureuses, enfin.

Le temps de rejoindre leur destination, le couple se tenait par la main, profitant du voyage pour roucouler entre elles, Ephaez se montrant des plus expressives et joyeuses, couvrant sa bienaimée de baiser et autres gestes affectifs. Ce n’est que lorsqu’elles arrivèrent devant l’hôtel que la domestique laissa échapper sa surprise sous le luxe dans lequel Cana les plongeait. Lui sautant au cou, elle la gratifia d’un énième baiser des plus vigoureux avant d’entrer, aussi énergique qu’une enfant qui découvrait pour la première fois un endroit. Chose qui n’était qu’à moitié vrai, n’ayant jamais connu le luxe dans son pays d’origine, elle n’avait jusqu’alors pu découvrir un tel endroit sans en avoir un motif autre que de le saccager ou de le renverser. Profitant de n’être qu’une vacancière, ses réflexes faisaient leur travail, s’assurant de connaitre les entrées et sorties, sans même qu’elle ne s’en rende compte, l’ancienne rebelle retrouvait de plus en plus ses habitudes passées.

Une fois leur valises posées et affaires installées, il n’en faut pas plus pour que la femme couverte d’alcool retire à nouveau ses habits, il était temps de passer du temps en couple, au soleil. Prenant leurs affaires, elle invite du regard sa chère Cana à en faire de même et de la suivre,  prenant la fuite de manière stratégique uniquement pour appâter sa proie. S’assurant de tout préparer pour l’arrivée de sa chère et tendre, elle se remet de l’alcool sur le corps afin d’être bien reluisante et appétissante.

En attendant que la maîtresse arrive, la jeune femme en profite pour commencer à profiter des vacances, admirant la mer, la beauté de l’horizon, les ombres passant au-dessus et se dissimulant dans les recoins de la plage, des yeux qui scrutent, peut-être simplement des voyeurs qui profitent de la plage pour se rincer l’œil, après tout, la vue naturelle était aussi intéressante à admirer que celle de la civilisation dont les représentantes gracieuses vagabondaient et se mettaient en valeur, cherchant l’attrait des yeux d’une myriade de prédateur, de chasseur qui ne demandait qu’à enfoncer leur lame dans leur chair.

Putain d'matin et putain d'soleil, c'est toujours comme ça le lendemain d'une cuite monumentale. Généralement utiliser ma fidèle comme hugging pillow me suffit à retrouver mes esprit dans la demie-heure, mais je pense que j'y suis allée vraiment fort ce soir. Pourquoi me diras-tu ? Tout simplement qu'il y a des occasions spéciales, celle-ci en fais partie et de loin.
Ça fait plusieurs mois que je suis en diète d'alcool et de bonheur matériel en tout genre pour me payer des vacances digne de se nom avec chérie-Ephy, j'ai surtout enfin le cran et les épaules pour partir avec elle en solitaire.
Compliqué de savoir quand, ou non on veux vraiment être avec la bonne personne.
Un baiser vient doucement me sortir de mon doux rêve qui ressemblait étrangement à cette réalité une Ephy suspendue a mes lèvres et qui me regard de ses yeux violets passionnés.

J'avais eu à peine le temps de dire entre deux grognement incompréhensible à chaque mots, encore 5 minutes que ma fidèle tendre amour me montre le spectacle de son nouveau bikini caché. Généralement quand on fais ça on en viens au jeux de mains intime dans la foulée, mais elle s'arracha vite... elle me connait que trop bien ♥

Elle avait déjà tout fait tout prévu et sa petite lueur qui m'envoie un signal de "quandquonpartCana!!?" c'est trop mignon.

Je prend quand même ma planche de surf et n'oublie pas l'alliance, j'ai trimée pour l'avoir...imaginez vous 1 mois en ayant qu'un tonneaux de bière par jour, la torture. Rejoignant notre décapotable familiale à l'extérieur de la ville ( et oui on est plutôt aisée quand on bosse à Fairy tail) elle ne cessa de me coller de me papouiller, ce genre d'affections que j'aime et tout particulièrement de mon Ephy, sa peau et douce et son parfum enivrant, je pourrait finir saoule rien qu'en léchant son parfum et humant sa peau, ou l'inverse, je ne sais plus.

Le trajet fut plutôt court et même silencieux on parlait surtout de ce qu'on allait faire la-bas. J'avais pas trop l'envie de causer, je voulais surtout affronter la demande dans ma tête et visualiser toutes les possibilités avant de mettre le genoux au sol.

On pose vite fait nos affaires sur Akane resort et le regard pétillant de Ephy me lance un véritable feux d'artifice à la tronche, ça lui fait plaisir et ça se voit.
A peine eu le temps de me changer en douce, portant un bikini surtout fait pour attire le regard Ce genre là.

Et ouais ! histoire de faire baver Ephy  ! Surtout ces vacances, j'suis toute à elle.

Elle me voit même pas je tire son bas de bikini lui soupirant dans l'oreille " Coucou mon jolie cul ♥"
J'en rigole et lui mets une fessée bien méritée pour la raison que dirais toute femme ; " car tel est mon bon plaisir" voyant en une demie secondes quelques hommes un peu jaloux de ma position, je posais la planche de surf sur le sable en enlaçant ma chérie et lui colle mes lèvres entrouverte, faisant valser nos langues sans lui demander son avis . Quelques secondes plus tard je la relâche, après avoir fait une dizaine de jaloux. ne cassant pas notre étreinte allant dans son cou, reniflant. tu as un truc là qui me titille... Ma langue passe doucement dessus.
Y'as un truc Ephy... tu t'es mis quoi? é.é . j'ai envie de te lécher partout là !

L'attente n'avait pas été très longue. Après tout, il s'agissait de vacance durement méritée. Autant pour Ephaez que pour Cana qui payait pour tout. Elle n'avait rien vu venir. Elle qui était pourtant toujours à l'affût, le simple fait d'être avec sa moitié, d'être en vacance lui avait valu de perdre sa garde et de subir une attaque surprise et sournoise.

Coucou mon jolie cul ♥

Trahison, vilenie ! Remettant son bas en place pour ne pas montrer ses fesses à quiconque, la jolie métisse rougit et rouspète. Mais elle n'a pas vraiment le temps de se plaindre qu'une belle claque lui est infligée. Fronçant des sourcils, couinant sous le plaisir de la petite douleur qui la tiraille, elle espère que la marque ne se verra pas trop, malgré son bikini. Sans autre procès, la voilà embrassée et passionnément qui plus est. La voix de la révolte est tuée aussi sèchement que les salivent s'échangent, que les langues dansent dans un ballet privé et intime. Un long frisson parcours le corps de la domestique qui passe naturellement ses bras autour de la nuque de celle qui faisait battre son cœur, celle pour qui elle était fidèle. Les lèvres se rencontrent, se retrouvent après une absence bien trop longue. Elle lui manquait, alors que'elle ne s'étaient quittées que si peu de temps. L'échange se prolonge sous le désir de la métisse mais finit par être rompue. L'échange buccale se transforme en un petit jeu taquin où la chérie vient humant l'odeur d'alcool rependue sur le corps sculpté de l'aphrodite aux cheveux violets. L'appendice agile vient le goûter, irrésistiblement attiré. Un nouveau frisson, un courant électrique parcourt le corps de celle qui subit, de celle qui se fait donner le titre de soumise, d'aimée, de jolie cul.

Y'as un truc Ephy... tu t'es mis quoi? é.é . j'ai envie de te lécher partout là !

Un petit rire échappe à celle pour qui la question était tournée. Elle savait que sa chère amoureuse ne pouvait pas résister à l'appel de l'alcool. Lui faisant un clin d’œil, elle pose un doigt sur ses lèvres et l'y enfonce avec lenteur, se rapprochant pour soupirer à son oreille.

«Suce et tu saura, après tout tu sais à combien j'aime me...parfumer, me rendre délicieuse pour ta langue, Cana-chérie~»

Laissant le bon loisir à sa belle de découvrir la saveur de son "huile de bronzage", la jeune femme lui retire le doigt après un petit moment, il ne fallait pas précipiter le jeu, elles venaient d'arriver après tout. Cherchant dans ses affaires la crémé solaire, elle s'en met sur les doigts, avant de s'approcher de sa chère maîtresse.

«-Il faut que je te protège du soleil pour que tu bronze biens, laisse toi faire et profite, ce sera comme un massage. Et si tu veux, je peux même graver mon nom sur une partie de ton corps.»

Tirant la langue après cette petite boutade, la délicieuse jeune femme se met au travail, commençant à répandre sur le cœur de son aimée le produit pour protéger sa peau si douce. D'ailleurs, le massage n'est pas complètement innocent. Un baiser perdu par-ici, une caresse déplacée par-là, la chaleur du soleil n'est pas la seule qui brûle au sein de la métisse, la partageant avec sa sulfureuse Cana.

Encore quelques parties de son superbe corps de statue et le travail sera terminé. Regardant aux alentours, les yeux de plusieurs hommes croisent celui de la masseuse qui fronce des sourcils. Hors de question qu'ils profitent du spectacle. Tirant sa belle brune dans ses bras, elle l'allonge pour terminer de glisser la crème dans ses endroits les plus sensibles.

«-Voilà, tu es toute prête pour le soleil, ainsi que pour venir goûter un peu plus de mon corps...»

Se redressant, la vilaine domestique montre ses fesses à la membre de Fairy Tail ayant la meilleure décente, tirant légèrement sur son bas pour montrer la marque que sa fessée lui avait laissé.

«-Regarde ce que tu as fais ma chérie, maintenant il va falloir que je me cache ! Rattrape moi dans l'eau si tu peux et je t'offrirais une autre dose de mon jus...alcoolisé !»

Piquant un sprint, l'ancienne rebelle prend la direction de l'eau, plus précisément celle de la mer d'Akane. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas pu s'amuser de la sorte, de profiter d'un véritable moment de répit, de joie. Nonobstant de ce bonheur nouveau dont elle pouvait pleinement profité, l'athlétique femme aux cheveux formant une cape reste hantée par son passé, une histoire qui ne s'est jamais véritablement terminée. Elle savait, qu'elle était une fugitive, une pleutre qui avait fuit après l'échec de leur mission. Avait-elle perdu la foi ? La résolution en son sens de la justice ?

Ses pensées disparaissent au moment où sa tête finit sous l'eau salé. Elle n'était pas mauvaise pour la nage, après tout son pays natale possédait de grand lac et des oasis suffisamment grande pour permettre la vie sur une terre aussi aride. C'était pourtant la seconde fois qu'elle voyait la mer, la première fois datant de sa fuite vers la terre de Fiore.

Le silence. La tête dans l'eau, la chevelure devenant des algues d'une longueur menaçante, la jeune femme nage paisiblement, oubliant ses rêves, oubliant son passé, juste l'eau et elle. Puis elle refait surface, prenant une grande bouffée d'air frais. Décidément, ses cheveux laissés ainsi étaient une gêne pour la nage. Peut-être aurait-elle dû les attacher avant ? Qu'importe, si Cana voulait qu'elle se fasse une natte, un chignon, une queue de cheval, elle le ferait aussitôt. La seule chose qu'elle refuserait de faire était de les couper.

Que de chaleur entre nous ! Me retrouvant bien vite à sucer le doigt de ma chère et tendre. érotiquement, gardant sa main pour savourer la moindre parcelle du corps qui me fais tourner la tête.

Bien qu'elle voulais retirer son doigt et que je n'avais pas fini mon en-cas, je lâche un petit soupir de mécontentement. Pile après et bien que je n'ai même pas eu le temps de lâcher une phrase, elle revient a la charge les mains pleines de ce gluant jus qu'on appelle crème solaire, sur le coup les mains d'Ephaez, qui pourtant me font crier d'envie de malice, me rebute un peu, car couverte de substance qui s'approche dangereusement de moi,et que je n'ai pas envie que se liquide froid m’atteigne.

Je couinais parce que mon soleil atteint rapidement son objectif, après juste quelques secondes de massage.... si ont peu appeler ça comme ça car il est plus torride encore que le sable sous nos pieds.

Bien, qu'au milieu de ce massage incandescent, je finis par regarder ma belle, mémoriser le contour de son visage. J'avais en effet prévue quelques trucs pour ces vacances. En toute honnêteté, j'ai une peur bleu de sa réponse. mon cœur bat encore à la chamade en voyant ses très fins et ses lèvres qui atteignent de temps en temps ma peau chauffée par ce doux soleil.

Perdue dans mes pensées je me retrouve au sol tandis que celle qui les occupent me caresse... des zones plus privées. Elle m'arrache un soupire, puis un joli couinement pour finir à haleter rouge et surtout comme une cruche couchée sur nos serviettes.

A peine dressée que je vois l'objet de mes désirs ! Si rond ! Si parfait ! Si je pouvant mettre une note je lui donnerais 19/5 ! Et dire que ceci est mien ! LA chance  !

Mais pas le temps, Ephaez semble complétement survoltée aujourd'hui et moi sacrément envieuse avec tout ce qui se passe, massage, son huile, ses fesses .

Voilà ma chance ! Elle entrais à peine dans l'eau de la mer, tandis que, moi je prenant un joli ruban que je voulais lui offrir plus tôt, car ses cheveux sont d'une importance capitale pour elle et moi.

Plouf ! A peine rentrée que je la suis discrètement, l'entrée me fait frémir à cause du changement de température. Même si très bonne à la nage, elle ne peux pas me battre!

Elle sortit un moment sans doute pour reprendre de l'air et je surgit de derrière elle me collant à son corps de rêves. Ma poitrine contre son dos.

Attrapée petite vicelarde ! Tu m'as l'air surexcitée ! Maiss...

Je lui caressais tendrement le ventre et attrape délicatement un oreille avec mes dents.

N'oublie pas avec qui tu es en vacances !

Retirant mes mains de son ventre je lui caressais la pointe des ses cheveux, regroupant une partie et mis le ruban pour faire une jolie queue de cheval. A peine un regard amoureux plus tard que l'odeur de l’alcool entre dans mes narines.

Poussant un soupire érotique, littéralement folle, je lui lèche doucement le cou, repassant mes mains devant caressant son bas ventre, l'alcool me servant d'aphrodisiaque puissant et elle le sait bien.

Je tirais un peu sur son bas, bien que avons pied ici, l'endroit et calme et personne ne peux voir sous l'eau.

Tu en as mis partout? Partout partout  ? Demandais-je intriguée,laissant mon esprit se corrompre peu à peu dans l'envie d'avoir mienne la femme que je désire.

Je l'aime c'est un fait et me retrouver avec son odeur plus celui de l'alcool me fait un effet monstre, je ne peux plus y résister. A moins qu'elle m’arrête bien sur.

Dans le calme sous-marin, la métisse n'avait ni vu, ni senti sa précieuse partenaire qui s'était, à nouveau, glissée dans son dos. Deux fois en l'espace de si peu de temps, Cana était plus sournoise et discrète qu'on ne pouvait le croire. La violette se retrouvait ainsi prise par surprise, vulnérable à la sensation familière de ce buste qui avait été dans la paume de ses mains plus souvent qu'une bouteille d'alcool à présent. L'ivresse connaissait plus d'un visage et bien que sa charmeuse mie aimait l'alcool de manière déraisonnable, c'était la sensation de cette peau tremblante, excitée, impatiente, qui faisait chavirer l'esprit de la domestique. La grande noiraude était si sensible que les tremblements que causaient les avances d'Ephaez les avaient rendus irrésistible.

Une exclamation lui échappe, sous la pression molle de cette chaire aussi bonne en taille qu'en goût. Pour une femme à la sensualité palpable et utilisée, les réflexes de la rebelle étaient bien rouillés.

Attrapée petite vicelarde ! Tu m'as l'air surexcitée ! Maiss...

Couinement, frétillement. Dans une tentative veine de fuir ce contact agréable, les dents font leur oeuvre, tout aussi efficacement si ce n'est plus encore que les doigts délicats. Quel chef d'oeuvre subit la vicieuse maid, alors qu'elle se tortille sous les sévices délicieuses de celle qui lui a donné un nouveau sens à sa vie de fugitive.

N'oublie pas avec qui tu es en vacances !

Avec la femme de sa vie. Celle pour qui elle voue ses services, dans une grande fierté. Souriant, Ephaez sent avec surprise que celle dans son dos joue avec ses cheveux, avant de réaliser qu'elle les coiffe et y dépose quelque chose. Elle lève sa main pour le sentir et réalise au toucher ce dont il s'agit, faisant naître un sourire plus grand sur son visage.
Puis un gémissement le tord, sensible à ce niveau, la voilà redevenue jouet malléable entre les mains agiles de son alcoolique adorée. Gesticulant dans l'eau, l'améthyste laisse échapper de ses lèvres fines un doux son, un gémissement honteux sous la sensation lubrique insufflée en elle.

Le bas tombant, tiré, le rouge monte aux joues de la belle prise, alors qu'en vérité, elles étaient bien à l'abris dans l'évidence, tant qu'elles ne se mettaient pas à brailler, japper et couiner comme des truies en chaleur et que leurs mouvements restaient dissimulés sous l'eau. Elle se retournait légèrement, alors même qu'elle désirait se détendre, l'envie de sa maîtresse influençait ses propres pensées.

Tu en as mis partout? Partout partout  ?

Hochant de la tête, la femme à la peau d'ébène glisse ses mains en arrière, une vers la cuisse de sa partenaire, la seconde vers son visage, cherchant à appeler ses lèvres pour un baiser aussi humide qu'appréciateur. Attrapant ses lippes, sa langue passe rapidement dessus tandis que leur salive se mélangent, s'écoulent, dandinant des fesses la belle se retourne petit à petit, ses gestes se font plus déplacés, jouant au creux de ses cuisses, caressant sa hanche, sans jamais laisser sa langue délaissée, jusqu'à la saisir en bouche pour la sucer dans un bruit des plus explicites, juste pour sa partenaire.

«J'en ai mis partout, mais à se baigner ainsi, je crois bien que tout est tristement dilué mon amour, si tu veux goûter, il faudra le faire au sec, mais en attendant, ma maîtresse a besoin d'être calmée, fufufu~»

Glissant ses mains sous le postérieur de sa douce, elle la soulève avec aisance dans cette eau où le poids n'a pas d'importance. Déposant baiser après baiser de sa nuque à sa clavicule, la belle de sa main libre saisit un sein, bien trop tentateur, jouant de sa tendresse l'oppressant et le compressant tout en venant agrémenter la gorge de sa moitié de mordillement.

«Ma douce Cana, je vais m'occuper de toi, comme tu le souhaites, après tout la journée est longue et on peut en profiter comme on le souhaite, n'est-ce pas ? Alors, je vais t'offrir ton premier orgasme de la journée <3»

Sa main relâche son prisonnier, mais uniquement dans le but de venir offrir des caresses plus bas, venant déplacer son bas afin de sentir le fruit défendu de son aimée, ne pouvant dissocier la moiteur dans l'eau, elle s’acharne à frotter du bout des doigts, jusqu'à la sentir suffisamment prête pour lui souffler lèvres contre lèvres.

«Ordonne et j'exécute, chérie.»

Je soupirais d'entrain, ma belle cendrée est devenue une véritable perverse, on en est presque rendue à le faire en public, cachée par quelques vagues et des bruits marins.

Je ne savais pas la force de Ephy même pour me soulever sous l'eau... et même si elle est une artiste dans le domaine de l'érotique et que je succombe plutôt facilement il faut le dire, mes pensées se tournent vers l'objet dans mon sac.

Pas un moment à moi et je sens sa douce main me flatter de sa présence dans mon bikini.

ça m'arrache un couinement, ses doigts sont merveilleusement fins et taillés pour ce genre de situation, le turquoise de l'eau me laisse tout voir aussi.

Je ne suis pas sans défense et sur le côté de l'érotique je sais y faire aussi, j'arrachais sa main à la fin de sa phrase. Collant contre son dos courbes à courbes, souriante.

Tu sais que je ne vais pas me gêner.

Je connais son corps sur le bout des doigts, je sais là où il faut caresser, là ou il faut toucher, là où il faut appuyer. Mon but est simple, Ephy est mienne et lui faire comprendre que c'est moi qui tire les rênes quand viens le coquin. Je lui assenais des caresses divines et en peu de tant exploitais tous ses points faibles, je veux la paralysée qu'elle soit sans défense, prête à boire mes paroles et exécuter n'importe lequel de mes ordres. Mes mains attaquent d'abord son ventre, l'une remonte pour assiéger entre ses seins et je force à bomber sa poitrine d'un coup de la mienne dans son dos. L'autre main coquinement arrive entre ses jambes et conquiert son pubis en frottant du bout de mes doigts. Sans toucher l'endroit fatidique je la remonte et passe aux cuisses que je lui force à ouvrir face à la page et même cachée. Et enfin, ma bouche subtile lui lèche le lobe et lui dire sensuellement "Aime-moi" du ton mielleux qu'elle adore tant.
Je n'arrêtais que mes assauts quand ma petite à cet air affamée, les pupilles en forme de coeur et prête à tout faire pour se calmer. Mais quelques minutes après j'arrêtais tout.

Ma puce, attends ici.

Je viens de prendre mon courage. Je viens de m'apercevoir qu'effectivement je la connais par coeur. Je reviens vers la berge et la laisse paralysée pour prendre ma planche de paddle et revenir vers elle debout dessus Monte

La belle reconvertie s’efforçait d’offrir à la maitresse de sa nouvelle vie ce qu’elle désirait, même si cela nécessitait qu’elle prenne les devants et qu’elle lui offre des moments intimes et impromptus. Son corps était entrainé pour l’action, sous toutes ses formes. Sa gigoteuse passe sur ses lèvres charnelles, cherchant à happer sa proie adorée. Pour une femme qui avait plus du lapin que du félin, Ephaez savait y faire dans la chasse. Elle ne pouvait pas laisser son alcoolique d’amoureuse en paix, non, pas une seule seconde pour lui laisser le luxe d’en faire à sa tête. C’était tout du moins ainsi que la bronzée avait prévu la chose. Alors que des regards lointains se portaient sur elles, une présence qui lui donna la chair de poule. Un froid instinctif qui hérissait les poils, une menace, au loin sur cette plage pourtant banale, bien qu’animée.

Son corps et ses actions étaient pourtant ailleurs, chassant donc toutes idées ou sensations qui devraient pourtant l’avertir. Ses doigts n’ont pas le temps de faire grand-chose, bien qu’elle puisse y graver quelques belles sensations, sa dulcinée l’interrompt. Tournant la tête surprise alors que la situation change du tout au tout. La servante se retrouve prise au piège à son tour, captivé par les sensations prodiguées, capturée corps et cœur pour cette femme qui savait bien plus qu’animer la flamme du désir charnel, mais également éveiller ses sentiments, auparavant rejetés pour servir son but. Sa voix lui échappe, des râles se font ouïr contre l’oreille de Cana à la peau aussi blanche que de la porcelaine. Et tout aussi douce. Les ordres silencieux sont compris, dans ce jeu de malice, les deux jeunes femmes sont des partenaires synchrones, la poitrine se redresse, rebondissant sous le mouvement, à la merci de la mage.

L’humaine ne témoigne d’aucunes merci, forçant sa victime à relever la main pour se mordre l’ongle dans une pose séductrice.

A-Aaah, C-Cana... Pas... P-Pas ici..!

À nouveau, sa voix s’exclame, elle implore entre deux respirations rapides. La main baladeuse fait ses ravages avec une facilité honteuse pour l’améthyste. Affrontant le regard lointain des touristes et des personnes venues profiter de la météo généreuse d’Akane Resort, elle frissonne sous cette fausse exhibition alors qu’elle peut sentir le souffle volcanique de celle qui lui fait sentir une fuite en elle. L’aimer, oui sa dévotion trouvait racine dans son attachement, son amour devenu nécessaire. Elle avait perdu toute identité après sa fuite de sa terre natale, et maintenant, le nouveau but de sa vie lui rappelait de mot si simple et pourtant si important, pourquoi elle était devenue ainsi.

Oui, je t’aime! Je t’aime Cana!

Réagissant naturellement aux supplices infligés, réceptifs des attentions portées à son encontre. Elle pouvait s’oublier dans la présence mobile sur son être, imprévisible, mais trouvant toujours un chemin sinueux pour la tendre tel un fil d’équilibriste. Se redressant, les sourcils surpris par l’ordre émis. Mais une domestique doit toujours faire preuve d’une diligence exemplaire.

Oui ma maitresse, je patiente.

Elle savait se faire obéissante, la femme des sables, mais n’en restait pas moins curieuse et d’humeur à filer le mauvais coton lorsqu’elle était lancée. Ainsi n’en fallait-il pas plus pour qu’elle se plonge dans l’eau, repassant ses mains sur les surfaces de son corps attendri, sensibilisé par les amours de Cana. Sa Cana. Un sourire niais naissant sur son visage, avant d’être extirpée de ses propres rêveries indécentes.

La belle dominante arrive sur une chose qu’Ephaez avait dû louper, car elle ne reconnait aucunement la chose. Il s’agissait d’une... planche? Hésitante, elle se rapproche de cette dernière en posant les mains dessus.

«Maitresse, vous savez bien que je ne suis pas très coutumière de ce genre de chose...»

Dissimulant les quelques rougeurs de gêne qui s’éveillaient, elle s’appuie sur ses mains pour faire comme sa chère et tendre moitié lui demande, avant de glisser complètement et de faire une tête de l’autre côté. Elle se redresse, toussant et crachant l’eau avalée par mégarde, avant de se reprendre une nouvelle fois, avant de glisser à nouveau. Elle s’y reprend une demie-douzaine de fois avant de finalement réussir à se tenir droite sur la planche, se retenait de sautiller de joie pour exprimer sa joie.

«Enfin! J’ai réussi à dompter ta planche Cana! Yeah!!»

La joie palpable, elle reste en équilibre ne désirant aucunement retomber dans l’eau pour la énième fois. Elle s’accroche à la taille fine avec laquelle elle partageait la place, ses doigts caressant doucement le tatouage de la guilde ostensiblement affiché.

«C’est une bonne idée, de me faire découvrir une activité comme celle-ci avec toi, nous allons passer nos journées ensemble, enfin...»

Continuant ses caresses, elle reniflait doucement les effluves de sa tendre mie. Humaine, la soubrette ne pouvait pas accompagner sa douce en mission, non seulement elle ne faisait pas partie de la guilde, mais elle serait probablement un fardeau. Mais toute cette frustration, toute cette tension qui l’habitait disparaissait à présent.

«Je suis vraiment contente que tu aies pu me trouver, Cana. Grâce à toi j’ai pu devenir une nouvelle personne...»

Éclaircissant sa gorge, les regards qu’elle avait sentis plus tôt ne sont plus, peut-être que tout cela n’était que dans sa tête, ou qu’elles s’étaient suffisamment éloignées de la plage pour ne plus avoir la compagnie lointaine d’observateur malicieux et malfaisant.

Je suis enfin seule avec celle qui occupe mes pensées en ce moment. On peux dire que j'ai la frousse. J'ai bien cacher mon cadeaux pour ma tendre. Et je pense qu'elle ne se doute de rien. J'ai toujours été impulsive dans ma vie, D'abord le faire réfléchir après. Cette action cependant j'ai fais les 100 pas avant de m'y lancer, je suis prête , en tout cas à partager ma vie avec elle. Je suis follement amoureuse, peux importe le temps et l'endroit, je n'arrive plus à planquer mes sentiments derrière la façade souriante et blagueuse. Plus facile à penser qu'a l'exprimer cependant. Le large nous temps les brase, une jolie mer sans vagues, même si le bruit de fond est plaisant. L'endroit idéal. J'en connais un rayon sur la mer, étrangement. Et c'est à cette heure-ci de la journée que ça deviens réellement joli, Le soleil qui rase les vagues et produit un léger dégradé de orange, ce qui ne nous aveugle pas nous plus, et plus je pense, plus la boule lumineuse se perd dans l'océan. Incapable de dire un mot, juste Elle moi et l'horizon, ça ne devrais pas être si dur pourtant !

Je viens de sortir enfin quelques mots de ma bouche...

Je... écoute Ephy, laisse moi parler pendant quelques minutes d'accord ?

Je viens m'asseoir sur la planche, un espèce de banc sur l'océan, avec elle à mes cotés que je fais asseoir aussi.

Ecoute ma belle, je ne veux plus que tu sois ma maid, d'accord ?

J'espère que mes cafouillages ne vont pas lui donner une mauvaise idée, Si seulement je pouvais sauter et nager pour m'enfuir après ces paroles, c'est si dur de trouver les mots juste quand on se dit des choses gentilles à longueur de journée, il me faut un discours fort qui reflète mon amour, ma passion !

Dans un élan de courage je la regarde avec conviction en prenant sa main, cette instant ou je la fixe parais long, si bien que notre soleil est presque parti, mais nous offre encore de la lumière, assez pour enfin sortir ses mots, enfin trouver le courage de mettre la boite blanche en face des ses yeux, enfin que mon visage parte en écarlate. J'ai si peur du refus, mais si je ne le fais pas,je pourrais même plus me regarder dans une glace.

Je t'ai toujours aimée, Ephy, depuis que tu es dans ma vie, j'ai souvent le coeur et les pensées en vadrouilles, je ne suis plus concentrer en mission, car je pense à toi, à te retrouver, toi ton sourire, ta bonne humeur. Le matin je me force pour te dire au revoir.

J'en halète presque, chaque mot est une marche que je monte, un escalier sans possibilité de se retourner ou de descendre.

Je suis la pire es cruches, Ephy, je suis un peu brusque, un peu garçon manquée, j'ai plein d'autre défauts, que tu connais certainement mieux que moi, vu que tu me côtoie et vois mes parts qui sont pas reluisante.

Je souffle un peu, la fixant.

Je t'autorise à répondre à une seule question. Une et unique et peu importe ton choix, tu vas devoir m'embrasser après.

Je dégluti.

Ephaez Nova, Veux-tu m'épouser? moi la cruche de Fairy Tail, ta maitresse, mais celle qui t'aime du fond de son petit cœur trempé dans l'alcool fort.

Le soleil se couche, les lumières derrières nous s’allument. Et pour que ce moment soit magique pour elle je lance des espèce de grains à la surfaces de l'eau. Ici les espèces marines sont fluorescente quand elles mangent. Leurs réactions entrainent les autres. Et soudain une route se dessinent sous nos pieds.

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Je souriais, timing parfais, et j'ouvre la boite pour lui présenter une bague toute ordinaire, oui j'ai tout dépensée pour ce voyage, et je trouve que les choses simple vont le mieux à Ephy.

C'est à se moment que le temps qui défilais si vite, s'arrête, devient presque immobile.

L’étreinte offrait un petit délice à la soubrette métisse. Le cadre était idyllique, elle n’aurait pu imaginer mieux pour partager un moment loin des tracas coutumiers de sa vie de bonne, de la vie rocambolesque de l’aventureuse mage. À ses yeux, il s’agissait là d’un cadeau dont elle comptait bien profiter, chaque instant était sacré et elle ne voulait rien perdre des miettes qu’on lui offrirait. Elle qui n’avait connu la paix que durant un jeune âge, le répit d’une vie bonne et louable lui avait échappé sous la révolution, sous la fuite, sous l’abandon de son peuple et de ses racines. Profitant d’une proximité sans décadence, Ephaez ne s’attendait pas au ton soudain de sa partenaire. Surprise, elle obéissait, hochant de la tête alors qu’elle reculait légèrement sur la planche. Elle n’avait pas prêté une grande attention au décors, mais elle réalisait petit à petit l’atmosphère changer grandement, alors que la soirée débutait sous un soleil couchant, offrant l’horizon tant admiré par les individus de tout monde.

Une phrase surprenante, violente assaille la talentueuse femme. Restant silencieuse, son visage se décomposait. Elle ne faisait pas un mauvais travail, de ça elle en était certaine, elle ignorait de quoi il en retournait, mais la maladresse de Cana causait au cœur de la lapine à s’emballer, elle qui était habituellement calme et maitrisée se crispait dans l’attente de la suite.
Un nouvel élan lui prend l’une de ses mains, serrée avec force, elle pouvait sentir dans le regard de la belle alcoolique, l’inconfort, le malaise, l’indécision. Elle en réalisait pas tout de suite qu’elle retirait un objet de son maillot, dévoilant une boite, petite et sans prétention.

Un son lui échappe, elle ne s’attendait pas à une telle déclaration. Cana qui était habituellement maladroite et plus axée sur le côté plus intime de leur relation venait de lui confier ses sentiments d’une manière qu’elle n’avait jamais faite. Aussi honnête et franche qu’elle le pouvait, la métisse avait un sourire aux lèvres, elle glousse alors que la déclaration continue, hochant de la tête quand elle énonçait ses défauts. Elle trouvait étrange le fait de l’embrasser quelques soit sa réponse, mais Cana avait toujours été un peu étrange dans sa tête après tout.

La question vient, elle couvre sa bouche de sa main libre sous l’émotion. Des larmes lui viennent, alors qu’elle regarde la bague, qu’elle regarde sa partenaire de vie. S’affolant, elle hochant frénétiquement de la tête, serrant sa main aussi fort qu’elle le pouvait, cherchant à chasser les lapis de ses yeux.

«Oui..Oui je le veux, bien sûr que je le veux !»

Se jetant presque contre Cana, la soubrette fait tanguer leur banc sur mer, embrassant vigoureusement avant de se faire passer la bague au doigt, l’admirant sous une scène époustouflante, l’esprit bien trop obsédé par le caillou pour l’observer.


«Oh Cana, ma Cana ! C’est le meilleur moment de ma vie !»
Elle n’avait pas imaginé la tournure des événements. Elle en oubliant complètement le reste, s’effaçant sous le bonheur présent, ses lèvres ne cessent de fricoter contre celles de sa douce, la harceler en la tenant par la taille, l’allongeant finalement contre cette planche instable, redressant sa cuisse et la caressant dans une ode sulfureuse, où sa voix se faisait presque grondante.

«Si c’est ce que tu as prévu avant même la fin du premier jour, je ne peux même pas imaginer ce que tu as préparé pour la suite ! »

Restant ainsi un long moment, elle ne se lassait pas de l’instant, elle n’avait aucune idée de ce qui l’attendait pour l’avenir, mais elle était confiante, rassurée. Elle se sentait en sécurité dans ses bras. Elle se sentait à l’aise, ainsi. La fraicheur de ses lèvres la gardait dans un rêve éveillé dont elle ne souhaitait pas sortir.

Caressant délicatement sa joue, jouant d’une petite mèche qui se glissait sur son doux visage, la jeune femme éclaircit sa gorge, pointant du nez la nuit qui était tombée.

«On va aller manger, ma chérie ? Ou bien est-ce que tu me réserves une autre surprise sous ton bas cette fois ? Je dois bien dire que tout ceci m’a ouvert l’appétit, j’ai l’impression d’être aussi essoufflée que si j’avais couru un marathon ! J’ai beaucoup aimé être dans et sur l’eau avec toi en tout cas, je veux y retourner avec toi dès demain ! »

Je soupire la tendresse de ma nouvelle femme me fait chavirer une fois de plus. enfin même si je veux me mettre sous l'eau parce que moi aussi, je suis essoufflée complétement épuisée après quelques paroles; Ca ne me ressemble pas néanmoins, je suis heureuse, j'ai une femme si belle.

Oui Rentrons, je veux pas passez ma vie sur la flotte. Enfin encore un peu parce que...
Je saute presque sur ma femme, je la plaque sous moi et la planche qui tremble et limite à nous faire basculer.

Je commence alors une looongue séries de baiser plus sensuels les uns que les autres, au final nos poitrines sont pressées ensemble, nos langues se chamaillent de plus en plus vite, parfois mes mains passent sur les flancs bronzés. Même après un long moment comme ça je me redresse, un regard trahi l'intention que je refoule doucement en moi.

Désolé ! il falalis bien que j'embrasse la mariée !

Je me met à ramer doucement sur la mer d'étoiles, prenant une vague qui nous ramène rapidement au rivage d'Akane, plus personne sur la plage juste nous deux, et une de mes mains baladeuse sur les fesses de mon épouse

Je t'aime Ephaez Alberona Repassant prendre ta main

Ou mange t'on ? Restaurant ? Chez nous ? SI on doit manger dehors il va falloir surtout nous habiller

En vrai j'avais tout prévu déjà, j'ai quelques réservations, ou ton plat favori à faire, bien que je sois une cuisinière médiocre, l'intention y est au moins.

La métisse caressait sa nouvelle bague avec obsession. Sa vie changeait pour le meilleur. Tout ce qu’elle n’avait jamais souhaité, commençait finalement par se réaliser. Tous ses efforts, ses sacrifices, portaient enfin leur fruit. Elle allait partager sa vie avec cette femme, cette incorrigible fauteuse de trouble. Elle ne méritait pas cette chance, elle le savait au fond d’elle, c’est pourquoi elle chérissait cette opportunité. Elle s’adonnerait à rendre Cana heureuse en retour.
Avant de retrouver pied à terre, une petite mise en bouche venait aguicher les papilles d’Ephaez. Des lèvres dont elle connaissait chaque recoin, chaque flaveur des roses qui l’assaillaient, alors qu’elle se retrouvait clouée sur la surface instable de la planche, sentant le chavirement se rapprocher au fur et à mesure que les lèvres venaient dévorer son essence. Ses bras s’accrochaient à ce corps impulsif qui lui offrait sa panacée. Sous les mouvements des eaux, leur corps se frictionne, le haut des maillots s’égarent par moment, faisant rougir la violette. L’intrusion de la serpentine amplifiait son adoration et la subjuguait aux malices de la mage. Ondulant, lâchant des complaintes d’un plaisir non dissimulé, s’abandonnant dans cette île éphémère où elle était emmenée par sa mie, Ephaez rend le regard emplis de passion de sa partenaire.

«Shhhhh, tu es toute pardonnée, ma Cana. » Passant brièvement la langue sur ses lèvres, elle recadrait sa chevelure d’un geste rapide. «Je ne sais pas comment sons les coutumes dans ton pays, mais nous ne sommes pas mariées avant que tu ne me consumes au lit ! »

Tirant la langue et se redressant à son tour, la lapine effleurait le nez de la jeune femme, s’accrochant par la suite à sa taille et remettant en place son haut, son menton frottant contre l’épaule de Cana qui les ramenait sur la plage. Une fois dessus, elle se tourna vers sa fiancée en sentant la pression de l’impatiente sur sa croupe.

«Je t’aime également, ma gourmande et brave petite mage. Mon insatiable Cana.  » Souffla-t-elle à son oreille avant de serrer sa main en retour.

Avant de répondre, elle se regardait elle et Cana. Elle n’avait pas la moindre idée de ce qu’elle souhaitait manger. Elle n’avait pas réellement la tête à ça, pour l’heure. L’extase courait encore dans ses veines. Prenant la seconde main et marchant à reculons en menant sa partenaire avec elle, un sourire naissant sur ses lèvres.

«Je ne suis pas certaine que l’hôtel te laisse leur cuisine, et un restaurant en maillot de bain, c’est un peu provocateur, tu ne penses pas ? Que dirais-tu que nous retournions à notre chambre et que nous nous habillons plus proprement, ensuite nous pourrons sortir célébrer ça. Juste toi et moi mon cœur. Découvrons cet endroit en faisant la fête !  »

Bien qu'heureuse et comblée de joie, Ephy émet un point celui de se faire consommer tranquillement dans un lit et ... les yeux se perde sur le corps de sa femme, une petite réflexion parcours son esprit "Bordel je suis marié avec cette beauté." se dit elle seule. Ne résistant plus trop aux tentations de son adorable métisse, Cana la porte doucement au sol, la petite lumière tamisée de la ville nous permet à peine de nous voir.

On PEUX aller manger, on Pourrais aussi... dit elle quelques mains baladeuses se faufilent sur la peaux nue de sa femme, caressant les flancs doux, légèrement musclé de sa belle passant ensuite sa langue sur le cou de sa bronzée, lui retenant les bras et mains de part d'autres de la tête avant de l'embrasser langoureusement et de nombreuse minutes à consommer les lèvres de sa douce chère et tendre mariée. Des dizaines de minutes d'un baiser en nous laissant juste un filet d'air pour respirer Cana se retire enfin non sans un filet de bave qui nous relie, écris sur le visage qu'elle veux le faire, tout de suite et maintenant.

Retirant doucement le haut d'Ephy pour libérer la poitrine, elle saute directement dessus la couvrant de baiser, caresser et passe sa langue sur le sein qu'elle ne masse pas. Son autre main quand à elle plus coquine frotte doucement le bas de son aimée, frottant le tissu à sa zone érogène principale, levant les yeux pour admirer sa douce se tordre et essayer de se débattre en vain, puisque si Cana veux, Cana l'aura, et ce qu'elle veux, c'est sa femme, maintenant, sur cette plage vide.

Le calme entoure nos deux mariés, il n'ya que le bruit lointain de la ville surtout celui des vagues et des gémissements de Cana qui adore lecher ce corps, qui a des restes d'alcool

Tu veux une serviette chérie ? Histoire que tu sois pas couverte de sable trempé...